Charles-Louis Philippe (Cérilly 1874 - Paris 1909)
Résumé bio-bibliographique (D. ROE)
suite
naissance de Louis et Louise Philippe, à Cérilly : père, Charles, sabotier, mère, Jeanne, journalière. Une demi-soeur, Félicie, atteinte de tuberculose, rejoint la famille en 1880.
1874
1881
mort de Félicie. Ostéite du maxillaire de Louis. Il sera toujours de petite taille.
boursier au nouveau lycée de Montluçon, il prépare le bac moderne,     ..scientifique.
1886
1891 passe en maths spéciales au Lycée de Moulins pour préparer Polytechnique.
1893 Découvre la poésie moderne avec Marcel Ray, de quatre ans plus jeune, élève en lettres
Echecs à Polytechnique et Centrale. Compose plus de 60 poèmes.  Correspondance littéraire avec Ray. Ecrit à Mallarmé et à René Ghil, qui le fait publier dans des revues belges.
1894
1895
Tente sa chance à Paris. Se lie avec les fondateurs d’une revue anarchisante L’Enclos, Lumet et Prod’homme. Mois de désoeuvrement à Cérilly. Poèmes en prose et projets de contes. Sa soeur épouse un pâtissier de Bourbon l’Archambault
Entré à l’administration du “Département de la Seine”, il ne quittera plus la capitale que pour des vacances d’été à Cérilly. Abandonne la poésie pour la fiction, et les revues belges pour L’Enclos. Pendant les vacances à Cérilly, un voisin nouveau, Jean Giraudoux, alors lycéen. Correspond avec le poète bruxellois Henri Vandeputte (Lettres de Jeunesse, 1911).
1896
1897
Publie à compte d’auteur Quatre Histoires de pauvre amour (Editions de l’Enclos).